- Alors Simone, elles te plaisent tes vacances ?
- J'adoooore... tu sais à qui tu me fais penser comme ça, Raoul ?
- Non... Prends une pose plus naturelle... oui, comme ça...
- A Vincent Perez... tu es mon hussard sur le toit...
- Ma Fanfan... Tu me donnes envie de valser.
- Si ça continue, tes rêves vont devenir réalité, parce que j'ai l'impression que la mer monte...
- Mais non. Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- J'entends l'eau très proche. Vraiment proche.
- L'eau est amie, et une amie est toujours très proche.
- Non mais Raoul, tu ne trouves pas que l'estafette bouge ?
- C'est normal qu'elle bouge, on est sur le sable, et avec la marée, l'estafette se meut un peu...
- Se meut ?
- Du verbe se mouvoir.
- Oui, je te remercie, prends-moi pour un bulot ! Je faisais juste remarquer non sans une certaine ironie ta bourgeoisie de syntaxe dans une telle situation ! Et nous, nous nous mouvons à quelle heure ? Parce que le mec qui parle à la radio, là, juste en-dessous, il vient de faire "gloub"
- Il a fait "gloub" ?
- Oui
- Combien de fois ?
- Bah c'est bien la quatrième là...
- Putain, y'a le journaliste qui se noie ! Il faut prévenir quelqu'un !
- Et ben descends et meus-toi Raoul !
- Mais... mais... Simone, y'a de l'eau partout !!!
- Oh mon pauv' chou.... allez, saute, à la hussarde !
- Et toi ?
- Moi je ne risque rien, nous sommes très proches l'eau et moi. Et puis on n'a jamais vu une marée submerger une estafette ...
- Non, je ne pars pas sans toi.
- Oh c'est mimi... Dis donc Raoul...
- Oui ?
- Tu serais pas un peu en train de flipper comme un dingue là ? Tu as peur de sauter, c'est ça... ooooh mon loulou... allez, accroche-toi à moi...
- Jamais ! Je suis le roi de la brasse coulée !
- C'est bien ce qui me fait peur...
- J'adoooore... tu sais à qui tu me fais penser comme ça, Raoul ?
- Non... Prends une pose plus naturelle... oui, comme ça...
- A Vincent Perez... tu es mon hussard sur le toit...
- Ma Fanfan... Tu me donnes envie de valser.
- Si ça continue, tes rêves vont devenir réalité, parce que j'ai l'impression que la mer monte...
- Mais non. Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- J'entends l'eau très proche. Vraiment proche.
- L'eau est amie, et une amie est toujours très proche.
- Non mais Raoul, tu ne trouves pas que l'estafette bouge ?
- C'est normal qu'elle bouge, on est sur le sable, et avec la marée, l'estafette se meut un peu...
- Se meut ?
- Du verbe se mouvoir.
- Oui, je te remercie, prends-moi pour un bulot ! Je faisais juste remarquer non sans une certaine ironie ta bourgeoisie de syntaxe dans une telle situation ! Et nous, nous nous mouvons à quelle heure ? Parce que le mec qui parle à la radio, là, juste en-dessous, il vient de faire "gloub"
- Il a fait "gloub" ?
- Oui
- Combien de fois ?
- Bah c'est bien la quatrième là...
- Putain, y'a le journaliste qui se noie ! Il faut prévenir quelqu'un !
- Et ben descends et meus-toi Raoul !
- Mais... mais... Simone, y'a de l'eau partout !!!
- Oh mon pauv' chou.... allez, saute, à la hussarde !
- Et toi ?
- Moi je ne risque rien, nous sommes très proches l'eau et moi. Et puis on n'a jamais vu une marée submerger une estafette ...
- Non, je ne pars pas sans toi.
- Oh c'est mimi... Dis donc Raoul...
- Oui ?
- Tu serais pas un peu en train de flipper comme un dingue là ? Tu as peur de sauter, c'est ça... ooooh mon loulou... allez, accroche-toi à moi...
- Jamais ! Je suis le roi de la brasse coulée !
- C'est bien ce qui me fait peur...
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